ATHENES / KAMARES (SIFNOS)
Jeudi 9 août 2018
Notre taxi nous attend à 5h30 du matin. Il va nous emmener au port du Pirée pour que nous prenions le ferry à 7h à destination de l’île de Sifnos. Nous avons un peu plus de 3h de trajet.
Nous avons choisi cette petite île pour sa tranquillité et la possibilité de faire de la randonnée. Sifnos possède de nombreux petits villages tous plus beaux les uns des autres. Elle possède plusieurs monastères intéressants et de nombreux sentiers de randonnée permettent de profiter de ses très beaux paysages. L'île possède une solide réputation en matière de poterie et de gastronomie. Bref, tout cela devrait nous aller ! Et puis, nous n’allons pas nous plaindre quand même.
Vers 10h30, Stella, la propriétaire de notre chambre d’hôtes « Margado » nous attend. Elle parle français, ce qui ne gâche rien. Sa maison se trouve dans les hauts de Kamares permettant ainsi de profiter de la vue sur la baie et d’être éloigné des bruits du village. Notre chambre n’étant pas encore prête, nous laissons nos bagages et partons à la découverte du village. La baie de Kamares est abritée entre de hautes montagnes. Nous marchons le long de la rue principale bordée de commerces, cafés et tavernes. Il y a aussi une très belle plage familiale. L’eau semble peu profonde. Nous y gouterons dans l’après-midi. De l'autre côté de la vaste baie se trouve le quartier d'Agia Marina. Le nom est dû à la jolie chapelle qui se trouve en bout de plage.
Nous revenons à notre hôtel pour prendre possession de notre chambre et s’installer et nous retournons en ville pour déjeuner. Nous déjeunons les pieds dans le sable et après ce bon moment, nous allons en passer un autre sur la plage. Nous trouvons un tamaris pour nous protéger du soleil. Le léger vent présent permet de ne pas avoir trop chaud, mais justement, il faut se méfier ! Et puis, nous nous mettons à l’ouvrage : baignage, farniente, lecture … trop dur !
Après ce moment intense, nous revenons à notre hôtel. Nous profitons un cours instant de la piscine puis nous dinons en ville et nous éteignons les lumières assez tôt car la fatigue nous gagne (oui mônsieur !)